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À l’occasion de la Journée mondiale sans tabac, ce 31 mai, la Ligue contre le cancer révèle les résultats d’une enquête inédite : pour protéger leur santé et celles des autres, 2 Français sur 3 (62 %) estiment que la cigarette devrait être plus réglementée dans l’espace public. Et 78 % d’entre eux sont même favorables à l’interdire dans davantage de lieux. Un véritable appel pour développer les « espaces sans tabac », ces périmètres fixés par arrêté municipal pour interdire de fumer dans les zones qui échappent à la réglementation actuelle, comme les abords des écoles, les plages ou les parcs. Dans un contexte où les politiques publiques peinent à suivre cette attente, la Ligue agit et lance « Ma Ville se Ligue », un programme de labellisation ambitieux pour aider les communes à créer des environnements plus sains et protecteurs pour leurs habitants. Une volonté claire des Français, en finir avec le tabac dans les lieux publics. C’est la conclusion implacable d’une récente enquête de la Ligue contre le cancer* à l’occasion de la Journée mondiale sans tabac, ce 31 mai. Contrairement aux idées reçues, les Français ne sont pas réticents à des mesures plus strictes contre le tabagisme 2 Français sur 3 (62 %) se disent prêts à une réglementation plus contraignante de la cigarette dans l’ensemble des lieux publics. Mieux : presque 8 Français sur 10 (78 %) souhaitent interdire la cigarette dans de nouveaux lieux publics comme les abords des établissements de santé, les forêts, les plages, les parcs, les abribus, les terrasses des cafés, les campus universitaires ou les terrains de sport. 8 Français sur 10 (83 %) demandent la même interdiction pour les cigarettes électroniques, qui ne sont pas aujourd’hui concernées par la réglementation. Ce constat signe les limites des politiques actuelles face aux attentes des Français : aujourd’hui, l’interdiction de fumer ne concerne, au national, « que » les lieux publics fermés, les transports publics, les établissements scolaires, les aires de jeu pour enfants et les lieux de travail. Cette liste est complétée par quelque 7 000 « espaces sans tabac », des initiatives prises dans environ 1 600 communes et labellisées par la Ligue contre le cancer, pour rajouter à cette liste plages, pistes de ski, parcs ou abords d’école. Offrir une pause dans sa consommation, protéger du tabagisme passif, éviter que les plus jeunes ne rentre dans le tabac par mimétisme… La généralisation des espaces sans tabac est un immense enjeu de santé publique alors que 46 000 décès par cancer sont liés au tabac tous les ans en France (source INCa). Alors pour prolonger cette mobilisation, la Ligue contre le cancer lance dès le 31 mai son dispositif « Ma Ville se Ligue », une démarche de labellisation pour aider les collectivités à bâtir des environnements favorables à la santé. Les communes qui s’engagent à réaliser au moins trois actions dédiées à la prévention des cancers, choisies parmi un répertoire – dont la mise en place d’espaces sans tabac –, se verront octroyées le label « Ma Ville se Ligue », matérialisé par un ruban. Deux rubans seront octroyés si elles mettent effectivement en oeuvre ces trois actions, trois rubans pour six actions et quatre rubans pour neuf actions. Colmar, Brest, Quimper, Strasbourg, Saint-Étienne, Paris, Le Havre et Reims s’engagent déjà dans ce dispositif novateur, et d’autres annonceront leur participation dans les prochaines semaines. « Avec 40 % de cancers dits « évitables », agir localement, au plus proche des personnes, de leurs modes de vie, de leurs besoins et de leurs attentes, est une priorité. En labellisant les communes « Ma Ville se Ligue », nous enclenchons un cercle vertueux : nous créerons des environnements protecteurs qui limiteront l’exposition aux facteurs de risque – dont le tabac, mais pas seulement – qui eux-mêmes encourageront l’adoption de comportements favorables à la santé, phosphoreront et inspireront de nouvelles initiatives. » Philippe Bergerot, président de la Ligue contre le cancer La Ligue contre le cancer appelle à un engagement renforcé des pouvoirs publics, tout en agissant avec les communes pour faire de chaque territoire un acteur de la santé de ses habitants. *Sondage OpinionWay pour la Ligue contre le cancer réalisé du 23 au 29 avril 2025 auprès d’un échantillon de 2 002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 à 75 ans, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence. Interviews réalisées par questionnaire autoadministré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview). OpinionWay a réalisé cette enquête en applicant les procédures et règles de la norme ISO 20252. Les résultats de ce sondage doivent être lus en tenant compte des marges d’incertitude : 1,00 à 2,20 points au plus pour un échantillon de 2 000 répondants. Pour les remercier de leur participation, les panélistes ont touchés des incentives ou ont fait un don à l’association proposée de leur choix. Synthèse de l’étude disponible sur demande.

La Ligue contre le cancer des Hautes-Pyrénées est fière d’être partenaire de cette belle initiative organisée par Emmanuel ALONSO, Maire, et Christian ZYTYNSKI, Maire-Adjoint Délégué à la Santé de la commune d’Aureilhan. Nous soutenons cette journée dédiée à l’information, à la sensibilisation et à la prévention du cancer, avec divers stands, échanges et animations, notamment autour de la santé et de l’environnement. Nous sommes heureux de contribuer à cette action collective en faveur de la santé publique.

Les chiffres clés des infections HPV à l’origine de cancers. La vaccination prévient jusqu’à 0 % seront infectés par le HPV au cours de leur vie. 0 % des hommes et des femmes existent dont certains sont à l’origine de lésions précancéreuses et de cancers. 0 types de HPV GÉNÉRATION VACCINÉE, GÉNÉRATION PROTÉGÉE Responsable de 6 400 cancers chaque année en France, le papillomavirus humain (HPV) concerne autant les femmes que les hommes. Pourtant, ces cancers pourraient être évités, à l’âge adulte, grâce à une vaccination dès l’adolescence qui demeure le moyen le plus efficace pour prévenir cette infection qui touche plus de 80 % de la population. En effet, grâce au vaccin contre les papillomavirus (HPV), dès 11 ans, filles et garçons peuvent se protéger et protéger les autres contre six cancers. Alors que la couverture vaccinale reste insuffisante et inégalitaire selon les territoires, la Ligue contre le cancer se mobilise pour atteindre l’objectif de 80 % de jeunes vaccinés d’ici 2030. La Ligue agit pour la santé de vos enfants ! i une fille de 15 ans sur deux (54,6 %) et un garçon sur quatre (25,9 %) ont reçu une première dose, la couverture vaccinale est en réalité très inégale d’un territoire à l’autre. Pour garantir un accès équitable à cette prévention vitale, la Ligue est sur tous les fronts et ses 103 comités départementaux initient des projets adaptés à leurs territoires pour la vaccination HPV : éduquer à la santé : la Ligue organise près de 100 ateliers ludo-éducatifs dans les classes de 5e tous les ans pour en savoir davantage sur HPV et encourager les filles et les garçons à se faire vacciner ; proposer le vaccin aux élèves de 5e : la Ligue forme les professionnels de santé et les enseignants à parler du vaccin pour sensibiliser les élèves ; faciliter le remboursement du vaccin : auprès des pharmacies partenaires, la Ligue s’acquitte directement du montant des doses de vaccin, sans frais à avancer pour les personnes sans complémentaire santé.   La Ligue se mobilise lors de la Semaine européenne de la vaccination (du 27 avril au 3 mai), pendant le mois de sensibilisation au dépistage du cancer du col de l’utérus en juin, ainsi qu’à l’approche de la rentrée scolaire de septembre, qui est le moment opportun pour penser à la santé à long terme de vos enfants. Dépistage et vaccination pour une meilleure prévention Les cancers du col de l’utérus touchent près de 3 160* femmes et causent environ 770* décès chaque année en France. À l’échelle mondiale, le cancer du col de l’utérus est le quatrième cancer le plus courant chez la femme. 90 % des cancers du col de l’utérus peuvent être évités grâce au dépistage des lésions précancéreuses. La vaccination permet de se protéger contre les papillomavirus humains (HPV) et est proposée à toutes les jeunes filles et garçons de 11 à 14 ans, à deux doses espacées de 6 mois (un rattrapage à trois doses est possible de 15 à 19 ans). Deux vaccins* sont utilisables : un vaccin bivalent (qui protège contre les virus de types 16,18) : Cervarix® ; un vaccin nonavalent (qui protège en plus contre les virus de type 31, 33, 45, 52 et 58) : Gardasil 9®. Le vaccin nonavalent (Gardasil 9®) protège contre l’infection de 9 types de HPV : sept oncogènes responsables de 90 % des cancers du col de l’utérus et d’autres cancers qui touchent les hommes et les femmes (pénis, anus, base de la langue, amygdales, larynx, vulve, vagin) ; deux responsables de lésions génitales (verrues génitales dites condylomes). Depuis 2020, un programme de dépistage organisé du cancer du col de l’utérus est mis en œuvre en France. Renseignez-vous sur les modalités de prise en charge auprès du Centre Régional de Coordination des Dépistages de votre région. *Sources : Panorama des cancers 2024*Deux vaccins sont disponibles (Cervarix et Gardasil 9) et ne sont pas interchangeables : toute vaccination commencée avec l’un doit, pour être efficace, être achevée avec le même. Toutefois, toute nouvelle vaccination doit désormais être commencée (et achevée) avec le vaccin Gardasil 9 pour les personnes non antérieurement vaccinées. En savoir plus sur le dépistage L’histoire de Charlène Après avoir contracté le papillomavirus, Charlène a développé un cancer du col de l’utérus. Elle raconte comment elle l’a vécu : avec des douleurs à la fois physiques, mais également psychologiques. « Le parcours pour le diagnostic, pour essayer de me soigner, puis l’ablation de mon utérus, c’est tout cela qui a eu des conséquences sur ma vie […] » La vaccination au-delà de nos frontières Les campagnes de vaccination ont déjà démontré leur efficacité : en Australie, le nombre de femmes entre 18 et 24 ans infectées par le HPV a diminué de 77 % depuis l’introduction de la vaccination scolaire en 2007, tandis que les anomalies cervicales précancéreuses ont diminué de 34 %. Grâce à son adhésion au programme de vaccination HPV et au dépistage, le Danemark est en mesure d’atteindre, concernant la maladie, un taux de récurrence inférieur à 4 sur 100 000. Le pays du Nord devrait avoir éradiqué le cancer du col de l’utérus d’ici à 2040. En France, un objectif de couverture vaccinale de 85 % permettrait de réduire d’un tiers les cancers du col de l’utérus. Même si les efforts sont à noter, le taux de dépistage étant au-dessus de la moyenne dans l’Union européenne (56 %), nous en sommes encore loin. Pour atteindre l’objectif de 80 % fixé par la stratégie décennale de lutte contre les cancers, la Ligue s’engage activement. Elle intensifie ses actions de sensibilisation, en particulier sur certains territoires, et soutient ainsi la vaccination à grande échelle. Adolescents, parents, professionnels de santé, responsables politiques : nous avons toutes et tous un rôle à jouer ! Vos questions, nos réponses ! Le HPV est responsable de combien de cancers ? Le HPV est responsable de 6 types de cancers ! Il existe plus de 200 types de virus HPV, mais seuls une douzaine sont dits « à haut risque » et oncogènes, c’est-à-dire pouvant provoquer des cancers. Cancers du col utérin,

Délégations de la Ligue contre le cancer et des Motards du 65 solidaires depuis 10 ans pour le rendez-vous local de l’événement national. À Vic ce samedi matin, jour de marché, malgré une météo printanière mais bien arrosée, la halle était le point de départ de l’opération « Une rose, un espoir » ; stand informatif avec les bénévoles de la Ligue et site logistique de la distribution vers des points de vente (commerçants du marché, centre-ville et enseignes Intermarché à Vic et Super U à Maubourguet) pour quelques brassées parmi les 8500 roses mises sous « cravate » vendredi par les motards, les bénévoles de la Ligue et autres… des Hautes-Pyrénées. Motards équipés de la tirelire de recueil de dons versés à la Ligue contre le cancer. Équipes associatives qui, avec l’engagement des collectivités territoriales (commune de Vic, communauté de communes Adour-Madiran), s’engagent dans des opérations solidaires et la mise en place de services. Ainsi, sur le site de la Maison de santé pluriprofessionnelle, place Verdun, à Vic, des permanences les semaines paires uniquement, le mardi de 14h à 16h. Plus d’infos par téléphone au 05 62 34 20 89. Dispositif à Maubourguet, au Groupe Médical, semaines impaires uniquement, le jeudi de 14h à 16h. Article « La Dépêche » paru le 29 avril 2025

Dix ans d’engagement, de sourires et de générosité. Les 26 et 27 avril 2025, les motards des Hautes-Pyrénées enfourcheront une nouvelle fois leurs motos pour la 10e édition de l’opération « Une Rose, un Espoir 65 », au profit de la Ligue contre le cancer. Un rendez-vous devenu incontournable, alliant passion, solidarité et espoir. Une décennie de mobilisation Depuis sa création, l’association « Une Rose, un Espoir 65 » mobilise chaque printemps des centaines de bénévoles et motards dans tout le département. Le principe est simple : une rose offerte contre un don minimum de 2€, entièrement reversé à la Ligue contre le cancer. En 2024, plus de 12 000 € avaient ainsi été collectés, confirmant l’impact concret de cette initiative sur le territoire. La remise du chèque s’était tenue en présence d’Annette Cuq, présidente de la Ligue 65, saluant l’engagement constant des équipes locales. Où retrouver les motards ? Voici les lieux précis où vous pourrez faire un don et recevoir une rose en retour : Samedi 26 avril 2025 – Matinée Après-midi Dimanche 27 avril 2025 (si des roses restent disponibles) Un week-end festif à Lanne Le point de rassemblement de cette 10e édition est fixé à la salle des fêtes de Lanne, avec plusieurs temps forts : Infos pratiques pour les participants Chaque rose est un symbole, chaque don un pas vers la victoire contre le cancer. Pour cette édition anniversaire, l’équipe vous attend nombreux pour faire fleurir l’espoir sur toutes les routes des Hautes-Pyrénées.

Samedi 12 avril, l’Amicale du Personnel du Centre Hospitalier de Bagnères-de-Bigorre a organisé, pour la troisième année consécutive, la Ronde des Fontaines, une opération solidaire en hommage à une collègue disparue des suites d’un cancer. Ce rendez-vous, devenu un temps fort du printemps, vise à récolter des fonds pour la Ligue contre le cancer des Hautes-Pyrénées. Le départ a été donné depuis le centre hospitalier, dans une ambiance chaleureuse, portée notamment par la participation exceptionnelle de la bandas « Les Fantaskes« , qui a animé le début de la marche dans une belle atmosphère festive. Deux parcours étaient proposés :– Un trail chronométré de 12 km avec 600 mètres de dénivelé,– Une marche non chronométrée de 6 km avec 300 mètres de dénivelé, ouverte à toutes et tous. À l’arrivée, les participants ont pu se retrouver autour d’un moment convivial avec buvette, restauration (grillades, frites, boissons), sans oublier une tombola organisée sur place. Mme Annette Cuq, Présidente du Comité Départemental de la Ligue contre le Cancer des Hautes-Pyrénées, était également présente pour donner le départ de la manifestation. Avant celui-ci, elle a rappelé qu’un Espace Ligue a récemment ouvert à Bagnères-de-Bigorre. Des permanences sont tenues par des bénévoles dans un local mis à disposition par la Ville de Bagnères-de-Bigorre. Par ailleurs, des soins de support gratuits sont proposés aux aidants, grâce à un partenariat avec le centre MGEN de l’Arbizon, qui accueille ces séances dans ses locaux. L’intégralité des fonds récoltés sera reversée dans les prochains jours à la Ligue contre le cancer. Un immense merci à tous les participants, aux bénévoles, aux musiciens des « Fantaskes », et à l’ensemble des organisateurs de l’Amicale du Personnel Hospitalier pour cette belle mobilisation, humaine et solidaire.

Ce jeudi, le parvis de l’hôtel de ville de Tarbes s’est transformé en véritable agora de la santé. Sous un soleil généreux, le Village Santé 2025 a rassemblé un public curieux et attentif, venu rencontrer plus d’une centaine de professionnels de santé engagés dans une démarche simple mais essentielle : informer, prévenir, et accompagner. Initiée par la Communauté Professionnelle Territoriale de Santé (CPTS) Tarbes-Adour, cette journée a permis de mettre en lumière la richesse de l’offre de soins locale et l’importance de la prévention dans tous les domaines. De la cardiologie à la santé mentale, en passant par la nutrition, la pneumologie ou encore la médecine du sport, pas moins de 23 spécialités étaient représentées dans ce village éphémère, coordonné avec rigueur et dynamisme par Carole Lahens, Carine Bontemps et Marion Marin. Mais au-delà des stands d’information, le public a pu bénéficier de dépistages gratuits et parfois immédiats, comme celui de l’insuffisance cardiaque, réalisable en quelques minutes à partir d’une simple goutte de sang. Une initiative saluée par les élus et représentants de santé présents, tous unanimes sur la nécessité de rapprocher les professionnels de la population. Parmi les stands les plus fréquentés, celui du Comité Départemental de la Ligue contre le cancer des Hautes-Pyrénées a marqué les esprits. Les bénévoles y ont proposé des échanges pédagogiques autour de l’autopalpation des seins, sensibilisant activement au dépistage du cancer du sein. Une démarche concrète, bienveillante et accessible, visant à encourager les gestes de prévention au quotidien. Le stand abordait également le dépistage du cancer colorectal, grâce à la présentation du kit proposé par le Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers (CRCDC), permettant aux visiteurs de mieux comprendre son fonctionnement et de lever les appréhensions. Autre atout de la journée : la possibilité de prendre immédiatement rendez-vous avec un professionnel de santé, directement sur place, facilitant ainsi le passage à l’action. Dans une ambiance à la fois studieuse et détendue — rehaussée par la visite des joueurs du Stado Tarbes Pyrénées Rugby et de leur mascotte Big Ours —, le message était clair : la santé est l’affaire de tous. Et pour cela, mieux vaut prévenir que guérir.

Pour la troisième année consécutive, la Ronde des Fontaines va réunir les sportifs et aussi ceux qui veulent faire un geste en faveur de la lutte contre le cancer. Sarah Barrère est la trésorière de l’Amicale de l’hôpital de Bagnères-de-Bigorre et, mercredi, l’heure était à la reconnaissance du parcours de la prochaine Ronde des Fontaines, une troisième édition qui promet d’être réussie et particulièrement festive. Un rendez-vous annuel fondé sur la solidarité pour soutenir la lutte contre le cancer : « Au départ, nous avions organisé la première Ronde des Fontaines pour rendre hommage à Sylvie Puygmale, qui avait été présidente de l’Amicale de l’hôpital et qui est décédée d’un cancer. Un trail qui avait été réalisé au bénéfice de la Ligue contre le Cancer, après le Covid. » L’appellation Ronde des Fontaines tire aussi son origine de l’ancienne présidente : « Elle habitait sur les Allées Maintenon, où il y a une fontaine. À Bagnères, il y en a plusieurs et l’idée est venue de là. » La première édition avait permis de reverser 1 000 € à la Ligue, la seconde 1 500 €. Tous les espoirs sont permis pour cette prochaine course, déjà couronnée de succès grâce aux premières inscriptions : « Elles sont déjà ouvertes en ligne, mais les gens pourront aussi s’inscrire sur place le matin de la course, le 12 avril prochain. Le départ est prévu à 10 heures pour la course de 12 km, et la marche suivra, avec 6 km. On peut s’inscrire jusqu’à la veille sur onsinscrit.com. » Recherche de bénévoles pour apporter leur aide Une course qui se veut aussi joyeuse et festive : « Le groupe Les Fantaskes nous fait l’honneur de participer en réduisant son cachet. On les remercie beaucoup pour cela. Nous aurons aussi une joëlette où prendra place Thimotée, un patient du centre de rééducation, et qui sera porté par des kinés de l’hôpital. Il attend ça avec impatience. On manque d’ailleurs de bras et de bénévoles pour nous aider, toutes les bonnes volontés sont les bienvenues. Nous avons besoin de signaleurs notamment. » L’Amicale de l’Hôpital repose sur la mobilisation des agents, toujours volontaires pour les activités du centre hospitalier : « Ils peuvent soit participer, soit encourager les participants, comme ils le souhaitent, et c’est grâce à eux qu’on y arrive, même ceux qui travaillent, comme la cuisine, qui va préparer les gâteaux, les grillades, les frites et la buvette. » Il est donc temps de s’entraîner et de préparer cette course solidaire et généreuse, qui permettra aux participants, marcheurs et coureurs, de passer un bon moment et de combiner une belle et généreuse action : « Cette année, le parcours ira jusqu’à la Vierge du Bédat, où le ravitaillement sera organisé, c’est une nouveauté. Il y aura aussi de l’animation sur place et quelques surprises. Ceux qui ne sont pas inscrits au préalable sur internet devront être là vers 9 heures, les autres à 9 h 30. Un café et des viennoiseries seront offerts à tous. Le départ du trail est prévu depuis le centre hospitalier lui-même. » À vos baskets le 12 avril prochain pour faire du sport, passer un bon moment et aider à la lutte contre le cancer. Article « La Dépêche » du 07 avril 2025 par Delphine Pereira

Cette journée santé gratuite qui aura lieu jeudi 10 avril de 9 h à 17 h place de la mairie à Tarbes, vous propose encore de nombreuses nouveautés, avec notamment des dépistages innovants. Plus 100 acteurs en santé vous donnent rendez-vous au Village santé organisé par la communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) Tarbes Adour en partenariat avec la ville de Tarbes, fort de l’énorme succès populaire rencontré lors de la première édition en mars 2024. « La santé est un problème majeur récurrent exprimé par nos concitoyens, ce à quoi nous avons répondu par la création du centre médical municipal Louis Lareng. Le besoin est tel que cela nécessite l’ouverture d’un second centre dans le nord de Tarbes » souligne le maire de Tarbes Gérard Trémège. « L’idée c’est de rendre service à la population et de faciliter l’accès au labyrinthe du système de santé, avec une prise en compte des spécificités du territoire qui compte 70 % des plus de 70 ans sur le bassin tarbais » explique Carole Lahens, infirmière et présidente de la CPTS Tarbes Adour. Plus de 50 médecins, acteurs de santé et psychologues du centre hospitalier de Bigorre et de la polyclinique de l’Ormeau seront présents auxquels il faut ajouter des associations et institutions partenaires organisées autour de pôles cardiologie, pneumologie, santé mentale, prévention, citoyenneté, enfance et famille, médecine de vile, diabétologie. « Une maladie sourde qui cause un millier d’hospitalisations » Cette journée santé gratuite qui aura lieu jeudi 10 avril de 9 h à 17 h place de la mairie, vous propose encore de nombreuses nouveautés. En premier lieu, un test de dépistage innovant de l’insuffisance cardiaque, avec une simple piqûre au bout du doigt. Le résultat est rendu en moins de 10 minutes. « 5 000 personnes dans le département sont touchées par cette pathologie, souvent sans le savoir. C’est une maladie sourde qui cause un millier d’hospitalisations par an dans les Hautes-Pyrénées, alors que seulement un patient sur trois est diagnostiqué à temps » précise Carole Lahens. Une marche environnementale au jardin Massey La santé environnementale fera aussi l’objet d’une attention particulière, avec une marche environnementale et intergénérationnelle au jardin Massey au départ du 33 rue André Fourcade à 10 h, qui sensibilisera aux risques de l’ambroisie, du moustique-tigre et des tiques. Deuxième nouveauté : un pôle des aînés avec la présence de gérontologues et de la plateforme d’appui et de répit de l’hôpital de l’Ayguerote. De nombreux ateliers et animations seront proposés avec une activité krav maga, un atelier mémoire avec la filière prévention de la Mutualité sociale agricole (MSA), un atelier dédié aux troubles de la déglutition avec des orthophonistes, de l’activité physique adaptée avec des éducateurs sportifs.

Malgré un temps incertain, la première édition de la TARBox, organisée par les Services des sports de la ville de Tarbes, a été un véritable succès. 113 binômes, soit 226 participants, ont répondu présent, témoignant de l’engouement pour cet événement.  L’ambiance était à la fête, avec des personnes ravies de cette initiative. La TARBox a rassemblé des participants de tous horizons, des sportifs aguerris aux amateurs, dans une atmosphère conviviale et chaleureuse. Cette première édition promet un bel avenir pour la TARBox !  Cet événement sportif et solidaire a permis de récolter des fonds pour la Ligue Contre le Cancer, dans le cadre de Mars Bleu, mois de sensibilisation au dépistage du cancer colorectal.  Étaient présents Monsieur Thomas Da Costa, Adjoint au maire aux sports, Monsieur Gérard Trémège, Maire de Tarbes, et Madame Annette Cuq, Présidente de la Ligue Contre le Cancer pour le département des Hautes-Pyrénées.  Un grand merci et un coup de chapeau à tous les bénévoles présents et aux organisateurs qui n’ont pas ménagé leurs efforts !